INSTITUT

Historique

L’existence de l’IRBV et du Centre sur la biodiversité repose avant tout sur les opportunités uniques de partenariat entre le Jardin botanique de Montréal, un des plus importants au monde attirant plus d’un million de visiteurs par année, et l’Université de Montréal, la plus grande université francophone d’Amérique du Nord pour l’enseignement supérieur et la recherche. Les retombées de ce partenariat sont multiples. L’Université de Montréal, autant pour son enseignement supérieur que ses programmes de recherche, a accès à des collections de plantes vivantes d’une très grande richesse ainsi qu’à des serres bien équipées. De plus, par sa présence dans une des institutions publiques les plus prestigieuses au Canada, l’Université de Montréal participe au rayonnement universitaire, rejoignant ainsi un vaste public.

Fondation de l’Institut botanique de l’Université de Montréal par Marie-Victorin en 1920
1920
En 1939, l’Institut botanique emménage dans le nouvel édifice administratif du Jardin Botanique de Montréal.
1931
Fondation du Jardin botanique de Montréal. par Marie-Victorin en 1931 et début de la collaboration entre l’Université de Montréal et la Ville de Montréal.
1939
De 1975 à 1990, le département de sciences biologiques de l’Université de Montréal et la division de recherche et développement du Jardin botanique de Montréal ont recruté respectivement une dizaine de professeurs et une demi-douzaine de botanistes.
1975
Fondation de l’IRBV (Institut de recherche en biologie végétale) en 1990
1990
En mars 1996, le Complexe d’accueil du Jardin botanique de Montréal et les nouveaux locaux et laboratoires de recherche de l’IRBV furent inaugurés. La création de l’IRBV avait facilité ces investissements majeurs, de 20 à 30 millions, de la part des gouvernements du Canada et du Québec, de même que de la Ville de Montréal. L'Université de Montréal a aussi participé à ce montage financier.
1996
En 2011, le Centre sur la biodiversité ouvre ses portes; il a été créé à l’initiative de plusieurs chercheurs de l’IRBV et réserve de vastes espaces à plusieurs importantes collections de plantes, d’insectes et de champignons. Ses laboratoires à la fine pointe de la technologie accueillent une trentaine de chercheurs et d’étudiants passionnés par la découverte et la préservation du patrimoine naturel québécois, canadien et mondial.
2011